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Texte du blog : Remco Putker
Texte de l'article Voile : Joris Westerveld
Photos : Eric van den Bandt
Il y a quelques mois, on nous a contactés pour nous demander si nous serions intéressés par la publication d'un article dans le magazine Zeilen sur l'électrification d'un voilier. Nous n'avons pas hésité à accepter ; bien sûr, cela nous intéressait.
Le vendredi 10 février était le jour J. Il faisait froid, très froid, et notre bateau, ainsi que le quai, étaient entièrement recouverts d'une couche de glace. Mais c'était aussi une magnifique matinée, claire et ensoleillée, avec une légère brume, un soleil levant et une douce brise. Seuls au monde sur l'eau, le bonheur était à son comble.
Nous étions si silencieux dans le box que le caméraman, installé dans le box voisin de notre annexe, ne s'en est même pas aperçu et s'est soudain demandé où nous étions passés, nous et le catamaran. Il nous a rapidement suivis et ses premiers mots ont été : « Je n'achèterai plus jamais de moteur thermique, c'est tout simplement génial ! », tant il était enthousiaste à propos de notre ePropulsion Spirit 1.0 Plus . Voilà ce que la navigation électrique vous apporte, et c'est ce que nous souhaitons faire découvrir à tous.
Arrivés à Haringliet, nous étions le seul bateau sur l'eau et, avec une légère brise, nous avons fait plusieurs allers-retours entre notre bateau et celui de la caméra. D'abord au moteur, puis à la voile – après tout, nous sommes des navigateurs électriques, et non l'inverse.
De retour dans le box, nous avons d'abord préparé une bonne tasse de café chaud, après quoi nous avons pris le temps de présenter et de documenter les installations techniques du bateau.
Après cette pause, nous avons repris le dériveur pour tester l' ePropulsion 1.0 Plus et le Temo 450. Ces deux moteurs, très différents et destinés à des usages bien distincts, ont tous deux été très bien accueillis. En résumé, une journée formidable et active, qui a donné lieu à un article exceptionnel. Merci à Maandblad Zeilen, Ben Rutte, Joris Westerveld et Eric van den Brandt.
